voici malgré tout le billet d'humeur que ce magazine démago au possible
a refusé de publier ....
Bonne lecture à tous et claquons la bise à Zegut, il s'en remettra !!
"...Le gros Michel n’est pas du genre à s’en laisser compter par le système, il est fan d’un groupe, d’un seul, The Suprêmes Conasses. C’est sa vie, ça lui a permis de trouver des réponses à ses doutes, ses angoisses. Ils les a connues par le biais de l’émission télé consacrée au poker : « Une Paire ! Deux couilles ! » (Citation du gros Michel : « Tain la croupière, elle est méga bonne la deblond avec son énorme paire de ‘eins’, je lui mettrais bien le boudin dans la chaudière, je vais faire une recherche sur internet ».
Avant cette révélation, le gros Michel était un adepte de l’église du Poireau Suprême, une secte dont le précepte repose sur une affirmation : « La différence entre une tranche de thon et une tronche de con est fondamentale. La tranche de thon est en boite, la tronche de con est en liberté ».
Lassé du thon et du con, la rupture est inévitable. Le gros Michel est de nouveau open pour remplir sa modern life, et son verre de bière of course.
Pendant quelques temps, il erre dans ses pensées sans vraiment trouver de réponse. Des questions le hante : Pourquoi je vois trouble quand je pète ? Pourquoi la crêpe à un cerveau si plat ? Faute de touffe faut il rêver tuning ? Pourquoi ça bombarde mon poulet ? Avouez que sa vie n’a été que tourment et grattage de burnes.
Et puis, l’ultime vérité s’impose à lui, un peu comme David Guetta qui mixe sans les mains, le gros Michel devient fan hardcore de The Suprêmes Conasses, le groupe qui accélère la connerie.
« J’ai une grenouille au bout de la bite », le premier single est en heavy rotation sur toutes les radios. On en parle même dans un prime time de la Nouvelle Star. Sortent ensuite : « J’e….e Ton Chien » et «Pète Ta Quiche », et l’idée des pochettes en 10 couleurs différentes, quel coup de génie pour gonfler les ventes. Ben ouuuais, le gros Michel, il a acheté les dix !..."
Avant cette révélation, le gros Michel était un adepte de l’église du Poireau Suprême, une secte dont le précepte repose sur une affirmation : « La différence entre une tranche de thon et une tronche de con est fondamentale. La tranche de thon est en boite, la tronche de con est en liberté ».
Lassé du thon et du con, la rupture est inévitable. Le gros Michel est de nouveau open pour remplir sa modern life, et son verre de bière of course.
Pendant quelques temps, il erre dans ses pensées sans vraiment trouver de réponse. Des questions le hante : Pourquoi je vois trouble quand je pète ? Pourquoi la crêpe à un cerveau si plat ? Faute de touffe faut il rêver tuning ? Pourquoi ça bombarde mon poulet ? Avouez que sa vie n’a été que tourment et grattage de burnes.
Et puis, l’ultime vérité s’impose à lui, un peu comme David Guetta qui mixe sans les mains, le gros Michel devient fan hardcore de The Suprêmes Conasses, le groupe qui accélère la connerie.
« J’ai une grenouille au bout de la bite », le premier single est en heavy rotation sur toutes les radios. On en parle même dans un prime time de la Nouvelle Star. Sortent ensuite : « J’e….e Ton Chien » et «Pète Ta Quiche », et l’idée des pochettes en 10 couleurs différentes, quel coup de génie pour gonfler les ventes. Ben ouuuais, le gros Michel, il a acheté les dix !..."
