Baby I’m a fool who thinks it’s cool to fall,
And I would never tell if you became a fool and fell in Love.
The paranoia is in bloom, the PR
The transmissions will resume
They'll try to push drugs
Keep us all dumbed down and hope that
We will never see the truth around
So come on
Another promise, another scene, another
A package not to keep us trapped in greed
With all the green belts wrapped around our minds
And endless red tape to keep the truth confined
So come on
They will not force us
They will stop degrading us
They will not control us
We will be victorious
Hey, psssit, l'album est à téléchérger ici...
Carmen Maria Vega - La Menteuse - Official Music Video from SOWATT STUDIO on Vimeo.
A mes amis rien que je mensEt si elles trottent les secondes
Si je galope à moitié nu
A demi vécue l'hécatombe
Je me dissous guettant le sombre
Quel est le sens à première vue ?
Découvrir mes catacombes
Tout seul dans l'arène
Je suis le roi des ombres
Tout seul dans l'arène
Je me suis perdu
Bravant la mer si profonde
Goûtant le sel et l'amertume
Mes idées noires se dévergondent
Et léguant mon costume de plumes
Quoi qu’en craque la vertu
Laissant mes entrailles en plein trip
Tout seul dans l'arène
Je suis le roi des ombres
Tout seul dans l'arène
Je me suis perdu
Je suis l'ombre de ton ombre
Tu es l'ombre de mon M
Je suis M, tu es M
Je suis M, tu es M
Si ton cœur pulse les secondes
M'aimeras-tu dans mon salut
Laisse les minutes vagabondes
Avant de me manger tout cru
Tout seul dans l'arène
Je suis le roi des ombres
Tout seul dans l'arène
Maître de l'hécatombe
Tout seul dans l'arène
Je règne en M
Je suis l'ombre de ton ombre
Tu es l'ombre de mon M
Je suis M, tu es M
Je suis l'ombre de ton ombre
Tu es l'ombre de mon M
WAT90's Fresh'n'Fresh Session #13 from We Are The 90's on Vimeo.
Mimi, le 24 septembre, on fait venir "papé - mamé" à la maison pour garder les garçons et nous on file à Paris !!Au cours d'un débat dans une université américaine en mai 2000, le futur-ex-ministre brésilien de l'Éducation, Cristovam Buarque (nommé en janvier 2003, et remplacé un an plus tard à ce poste par Tarso Genro, ancien maire de Porto Alegre) fut interrogé à propos de l'idée d'internationalisation de l'Amazonie.
Un jeune Américain lança le débat en disant qu'il espérait la réponse d'un humaniste et non pas celle d'un Brésilien.
Publiée par O Globo le 23 octobre 2000, sa réponse a été reprise depuis par de nombreux journaux brésiliens et étrangers.
Voici la réponse de M. Cristovam Buarque :
« En effet, en tant que Brésilien, je m'élèverais tout simplement contre l'internationalisation de l'Amazonie. Quelle que soit l'insuffisance de l'attention de nos gouvernements pour ce patrimoine, il est nôtre.
En tant qu'humaniste, conscient du risque de dégradation du milieu ambiant dont souffre l'Amazonie, je peux imaginer que l'Amazonie soit internationalisée, comme du reste tout ce qui a de l'importance pour toute l'humanité. Si, au nom d'une éthique humaniste, nous devions internationaliser l'Amazonie, alors nous devrions internationaliser les réserves de pétrole du monde entier.
Le pétrole est aussi important pour le bien-être de l'humanité que l'Amazonie l'est pour notre avenir. Et malgré cela, les maîtres des réserves de pétrole se sentent le droit d'augmenter ou de diminuer l'extraction de pétrole, comme d'augmenter ou non son prix.
De la même manière, on devrait internationaliser le capital financier des pays riches. Si l'Amazonie est une réserve pour tous les hommes, elle ne peut être brûlée par la volonté de son propriétaire, ou d'un pays. Brûler l'Amazonie, c'est aussi grave que le chômage provoqué par les décisions arbitraires des spéculateurs de l'économie globale. Nous ne pouvons pas laisser les réserves financières brûler des pays entiers pour le bon plaisir de la spéculation.
Avant l'Amazonie, j'aimerais assister à l'internationalisation de tous les grands musés du monde.
Le Louvre ne doit pas appartenir à la seule France. Chaque musée du monde est le gardien des plus belles œuvres produites par le génie humain. On ne peut pas laisser ce patrimoine culturel, au même titre que le patrimoine naturel de l'Amazonie, être manipulé et détruit selon la fantaisie d'un seul propriétaire ou d'un seul pays.
Il y a quelque temps, un millionnaire japonais a décidé d'enterrer avec lui le tableau d'un grand maître.
Avant que cela n'arrive, il faudrait internationaliser ce tableau. Pendant que cette rencontre se déroule, les Nations unies organisent le Forum du Millénaire, mais certains Présidents de pays ont eu des difficultés pour y assister, à cause de difficultés aux frontières des États-unis. Je crois donc qu'il faudrait que New York, lieu du siège des Nations unies, soit internationalisé.
Au moins Manhattan devrait appartenir à toute l'humanité. Comme du reste Paris, Venise, Rome, Londres, Rio de Janeiro, Brasília, Recife, chaque ville avec sa beauté particulière, et son histoire du monde devraient appartenir au monde entier.
Si les États-unis veulent internationaliser l'Amazonie, à cause du risque que fait courir le fait de la laisser entre les mains des Brésiliens, alors internationalisons aussi tout l'arsenal nucléaire des États-unis.
Ne serait-ce que par ce qu'ils sont capables d'utiliser de telles armes, ce qui provoquerait une destruction mille fois plus vaste que les déplorables incendies des forêts Brésiliennes.
Au cours de leurs débats, les actuels candidats à la Présidence des États-unis ont soutenu l'idée d'une internationalisation des réserves flores tales du monde en échange d'un effacement de la dette.
Commençons donc par utiliser cette dette pour s'assurer que tous les enfants du monde aient la possibilité de manger et d'aller à l'école.
Internationalisons les enfants, en les traitant, où qu'ils naissent, comme un patrimoine qui mérite l'attention du monde entier. Davantage encore que l'Amazonie.
Quand les dirigeants du monde traiteront les enfants pauvres du monde comme un Patrimoine de l'Humanité, ils ne les laisseront pas travailler alors qu'ils devraient aller à l'école; ils ne les laisseront pas mourir alors qu'ils devraient vivre.
En tant qu'humaniste, j'accepte de défendre l'idée d'une internationalisation du monde.
Mais tant que le monde me traitera comme un Brésilien, je lutterai pour que l'Amazonie soit à nous. Et seulement à nous ! »
Merci à "ma pause café".